Rubis

Je suis également en train de réaliser un ‘match-3 game’ pour remplacer le jeu de déplacement du robot. Je travaille en sessions selon mon temps disponible et mon envie. Je réalise une partie de l’algorithme à chaque fois et je teste. Ensuite je passe à autre chose, j’ai tellement à faire dans la vraie vie ! Je suis finalement parvenu à un fonctionnement convenable. J’y ai travaillé au déplacement des rubis, à la détection des triplés de couleur identique et à leur suppression de la grille fun.

Le retour des bubbles

Je voudrais intégrer un jeu du genre ‘bubble shooter’ dans l’hubibox. Mais cette fois-ci la réalisation est plus complexe. J’avais déjà travaillé sur ce type de jeu bien avant le projet, avec moins de connaissances du langage d’ AgkGameKit, puis j’ai abandonné. C’est une reprise de la méthode initiale, à savoir traduire un code existant en JavaScript, une bonne galère aussi. J’ai donc repris l’exemple de code d’un site et tutoriel internet et je l’adapte tant bien que mal. L’algorithme n’est pas des plus faciles à s’approprier en ce qui me concerne. Je teste énormément de parties pour espérer qu’elles veuillent bien fonctionner correctement. J’y suis depuis quinze jours.

Le 22.07.2019, première intégration dans le programme de l’hubibox. Après avoir buté de nombreuses heures sur la mise en place et le débogage des algorithmes du tutoriel, j’ai fini par créer le mien. Pas parfait, mais il se rapproche de ce que j’espérai réaliser. Je vais fignoler l’intégration petit à petit.

Comment une nouvelle partie est ajoutée au programme de l’Hubibox

Dans un premier temps, je réfléchis à l’algorithme du programme et effectue des recherches. Ensuite je commence à produire les premiers graphismes. Ils sont dérivés des précédents, pour coller à l’aspect général.

Ces éléments en main j’écris la structure de base du code de cette partie qui est directement incluse dans le code existant de l’Hubibox. Je tends alors de plus en plus vers mon idée en écrivant de plus en plus des lignes de code. Je teste petit à petit le fonctionnement, débusque les bugs les plus déroutants. Trouve des solutions pour un bon fonctionnement de l’ensemble. Généralement je peaufine ou j’ajoute des graphismes.

J’essaye toujours d’aller à l’essentiel. Je suis seul pour réaliser mon idée, et souvent de nombreuses heures sont nécessaires. J’entrecoupe souvent ces séances de réalisations. C’est mon véritable boulot qui fait la coupure. Et au final certaines journées sont très longues. Le tout est de pouvoir terminer l’idée, la partie concernée. De nombreux développeurs amateurs se lancent des défis trop importants et ne terminent jamais leur projet.

La musique est produite en cours de réalisation. Elle aide et encourage la création. Une fois écrit le code est à tester de nombreuses fois. L’ordinateur insulte de ses messages signalant les erreurs. Le débogage n’est pas facile, comprendre ce qui cloche et converser avec un ordinateur demande beaucoup de pratique et de sang-froid. Cette étape fastidieuse est plus agréable lorsque la musique est en place. Dans d’autres parties comme les diaporamas je produis la musique à la fin.

Tout ce temps passé, est du temps de ma vie. Et j’ai beaucoup de choses à faire. Ce ne semble pas être un gros projet et pourtant il consomme des heures. Comme c’est le travail d’une seule personne. Il me ressemble. Un programme d’auteur.